Trop c’est trop. A une semaine d’un mouvement de grève national, la fédération des activités postales et de télécommunications (FAPT) de la CGT en Essonne tire la sonnette d’alarme. « Les choix politiques et économiques de la direction ne peuvent plus durer, peste le secrétaire général de la FAPT 91, Yves Pradillo. Cette politique nous mène à la fermeture de bureaux de poste et à la dégradation des conditions de travail ».
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